Une semaine après le sinistre, nous avons entrepris de nettoyer les débris de bouteilles, cannettes, objets de plastique en tous genres calcinés ou pas, au milieu des cendres : nous avons collecté sept sacs de 50 litres rien que sur le sentier et ses abords... ce n'est qu'un début. Nous lançons un appel à l’aide auprès des habitués et des amoureux du site d’Happy Bay en leur disant : « après le réconfort... l'effort... ». A ce train-là ...notre île ne sera bientôt plus qu’un champ d'ordures: SAVE notre paradis ! Et les services de la voirie ne devraient-ils pas aussi se « bouger »? En effet, tous les restes de gouttières, de tôles, de toits, de garde-corps etc... sont maintenant à portée de main. Qu'attend-t-on pour envoyer les services techniques venir nettoyer ce secteur que l’incendie a rendu plus accessible ? Sans parler de l’étang de Friar's bay quasiment à sec où les débris en tous genres datant d'Irma pourraient facilement être collectés et évacués.
« Allez les gars, courage! Retroussez-vous les manches et dégagez tout ça! ». Des résidents de Mont Choisy
« Résidant à Mont-Choisy nous avons eu la surprise de découvrir une déchèterie à ciel ouvert après l'incendie qui a ravagé la colline ».