Le président Macron a évoqué la possibilité de réintégrer les soignants non vaccinés contre le Covid-19
10 Mai 2022
En déplacement dans le sud-ouest de la France, le président Emmanuel Macron fraîchement réélu a été interpellé sur la question des soignants qui ont été suspendus faute de ne pas avoir pu présenter de preuve de leur schéma vaccinal pour lutter contre le Convid-19. En réponse, il a ouvert la porte à leur possible réintégration.
« Quand on ne sera plus en phase aiguë, on le fera (…) On va, je pense, sortir de la phase épidémique aiguë (...) Si on continue sur cette tendance, on va revenir sur une phase endémique. On pourra revenir autour de la table et réintégrer les personnels suspendus» a déclaré le chef de l’État au cours de ce déplacement, sans toutefois préciser l’échéance.
Des intentions qu’il avait déjà évoquées alors qu'il était encore en campagne, lors d'un déplacement dans l’Est de la France.
Ce sont quelque 15 000 soignants qui ont été suspendus depuis le mois de septembre dernier, dont 631 en Guadeloupe. Parmi ceux-ci, certains ont accepté une rupture conventionnelle ou encore une reconversion professionnelle.
Pour mémoire, en Guadeloupe et en Martinique,, en plein crise crise sociale sur fond d’obligation vaccinale pour les soignants et les pompiers, le gouvernement s’était engagé, en décembre dernier, à lever la suspension des personnels non vaccinés et de leur rémunération pour ceux qui accepteraient un « accompagnement personnel » en vue notamment d’un reclassement.
Des intentions qu’il avait déjà évoquées alors qu'il était encore en campagne, lors d'un déplacement dans l’Est de la France.
Ce sont quelque 15 000 soignants qui ont été suspendus depuis le mois de septembre dernier, dont 631 en Guadeloupe. Parmi ceux-ci, certains ont accepté une rupture conventionnelle ou encore une reconversion professionnelle.
Pour mémoire, en Guadeloupe et en Martinique,, en plein crise crise sociale sur fond d’obligation vaccinale pour les soignants et les pompiers, le gouvernement s’était engagé, en décembre dernier, à lever la suspension des personnels non vaccinés et de leur rémunération pour ceux qui accepteraient un « accompagnement personnel » en vue notamment d’un reclassement.