Le neem, l’arbre qui guérit tous les maux
Par La rédaction
18 November 2022
Cet arbre de la médecine ayurvédique, présent à Saint-Martin, est réputé pouvoir tout soigner : articulations, système immunitaire, digestion, système nerveux, glycémie, hypertension…
Le neem, également connu sous les noms de margousier ou encore de « lilas de Perse », est un arbre de la famille des méliacées. Peu connu du grand public, il attise pourtant l’intérêt des industriels, mais aussi des agriculteurs et maraîchers du monde entier. En effet il produit différentes substances dans ses fruits, ses feuilles et son bois, qui s’avèrent de puissants biopesticides, efficaces sur plus de 400 espèces d’insectes, parasites, ravageurs et champignons des cultures agricoles et forestières .
Originaire d’Inde, le neem est cité dans plusieurs manuscrits et ouvrages de médecine ayurvédique indienne. Plusieurs parties de l’arbre comme les feuilles, les graines et l’écorce sont utilisées traditionnellement pour leurs vertus thérapeutiques. La feuille et la graine du neem sont par exemple reconnues pour calmer les réactions allergiques, l’asthme, les hématomes, la dysenterie, la fièvre, la goutte, les maux de tête, les démangeaisons (notamment celles de la varicelle), les calculs rénaux, le psoriasis ou encore les douleurs musculaires. Elles sont de plus réputées comme antivenin et vermifuge. D’autres parties de l’arbre servent en Asie à des applications diverses : les branches pour le brossage des dents et l’hygiène bucco-dentaire, l’écorce comme teinture – du fait de sa forte teneur en tanins –, la graine ou la feuille comme engrais et insecticide.
Le neem est également apprécié dans l’alimentation asiatique et africaine. Les fruits sont dégustés frais ou cuits, en desserts ou en limonades, et les fleurs sont parfois cuisinées en légume d’accompagnement.
Originaire d’Inde, le neem est cité dans plusieurs manuscrits et ouvrages de médecine ayurvédique indienne. Plusieurs parties de l’arbre comme les feuilles, les graines et l’écorce sont utilisées traditionnellement pour leurs vertus thérapeutiques. La feuille et la graine du neem sont par exemple reconnues pour calmer les réactions allergiques, l’asthme, les hématomes, la dysenterie, la fièvre, la goutte, les maux de tête, les démangeaisons (notamment celles de la varicelle), les calculs rénaux, le psoriasis ou encore les douleurs musculaires. Elles sont de plus réputées comme antivenin et vermifuge. D’autres parties de l’arbre servent en Asie à des applications diverses : les branches pour le brossage des dents et l’hygiène bucco-dentaire, l’écorce comme teinture – du fait de sa forte teneur en tanins –, la graine ou la feuille comme engrais et insecticide.
Le neem est également apprécié dans l’alimentation asiatique et africaine. Les fruits sont dégustés frais ou cuits, en desserts ou en limonades, et les fleurs sont parfois cuisinées en légume d’accompagnement.
Utiliser le neem au quotidien
Vous pouvez utiliser l’huile de neem pour le soin des cheveux et de la peau, proposée notamment sur l’île par la marque Nectar. Mais vous pouvez aussi récolter les feuilles de neem à la main, les faire sécher puis les mixer en fine poudre. Au quotidien, vous pouvez utiliser cette poudre pour préparer des cosmétiques maison. À des produits de base comme l’argile blanche, le bicarbonate de soude, le carbonate de calcium, et l’huile de tea tree, ajoutez de la poudre de neem pour fabriquer un dentifrice. Grâce à ses propriétés nettoyantes, astringentes et anti-inflammatoires, le neem empêche les impuretés de s’accrocher à vos dents et lutte contre le risque d’infection.
Cette poudre assainit également les peaux grasses et à tendance acnéique, et s’avère un ingrédient intéressant dans les shampooings et lotions capillaires pour lutter contre les pellicules.
Elle peut être associée à un hydrolat par exemple, ou bien en macérât aqueux ou huileux pour la confection de crèmes ou de soins capillaires.
Cette poudre assainit également les peaux grasses et à tendance acnéique, et s’avère un ingrédient intéressant dans les shampooings et lotions capillaires pour lutter contre les pellicules.
Elle peut être associée à un hydrolat par exemple, ou bien en macérât aqueux ou huileux pour la confection de crèmes ou de soins capillaires.
La rédaction