Mise en place de bracelets électroniques à Sint-Maarten
Pour le ministre de Weever, il est actuellement urgent de mettre en service le système de surveillance électronique, en raison du manque de place au centre de détention et des difficultés rencontrées pour exercer la surveillance des criminels suspectés et/ou condamnés.
Avec le service temporaire des services proposés par CSSI, le ministère de la Justice va faciliter ce besoin immédiatement et sera en mesure d’avoir le temps nécessaire à l’élaboration d’un avis des principales parties prenantes, pour des besoins et des services à long terme, sur l’utilisation des bracelets électroniques.
Le financement, pour la période initiale de six mois, sera prélevé sur les fonds de lutte contre le crime et la délinquance, sans que le montant de l’investissement ne soit précisé par le ministère. Le ministre de Weever souligne que le contrat précédent, qui avait été signé avec la société Fennix, s’était terminé et qu’en conséquence une nouvelle société avait été recherchée pour fournir ce service.